Une pénalité qui passe à côté, deux points qui manquent et c'est Oyonnax qui reste en Pro D2, Albi qui revient en élite aprés ses soucis financiers de la saison passée.
Une qualification de justesse pour les joueurs de l'Ain en demis face à un Lyon qui n'a trouvé l'appétit qu'aux ultimes lueurs du championnat de la seconde division de rugby mais qui a effectué un parcours fantastique en battant Agen à l'extérieur la semaine passée.
Albi n'était pas vraiment supérieur mais un peu plus de niaque en mélée, un peu moins de reussite en tocuhe qu'à l'accoutumée pour Oyonnax ont suffit.Ceci dit Oyonnax aurait-il vraiment été heureux et en capacité réelle de jouer en Top 14? Rien n'est moins sur. Passer la saison à prendre tôle sur tôle en élite parce qu'on est monté par surprise pas trés motivant. Mieux vaut construire pour monter aux étoiles!
A l'étage au-dessus on jouait les demi finales.
De solides clermontois ont triomphé de toulousains plus virevoltants mais moins costauds peut-être. Une victoire à l'auvergnate, une troisième finale de rang pour les jaunards, la dixième de l'histoire, eux qui n'ont jamais gagné le titre...cette fois c'est la bonne ? La blague dans la capitale d'Auvergne: Au bout de la dixième tentative ratée, le Brennus est offert...mouais. Il faudra quand même mettre fin à la malédiction clermontoise des échecs en haut de l'escalier.
Autre demi, à Lyon celle entre Perpignan et le Stade Français-Paris.
Une rivière de drapeaux sang et or inonde le stade des olympiens de Lyon. En drapeaux, en vêtements, en maillots l'antre lyonnaise se fait catalane. Bien plus qu'un club, comme le disent les footeux de la catalogne du sud au sujet de leur équipe championne d'europe, l'USAP est le porte-drapeau de la catalinité en France. Terre de tous les ovales puisqu'outre l'USAP les Dragon Catalans du XIII sont le joyeau de l'autre rugby français,elle voue à son club une passion sans faille. C'est plus de 20 000 catalans qui agitent d'immenses drapeaux dans une ambiance de follie. Si ils sont moins nombreux et flamboyants, les parisiens tiennent la route. Invariablement chaussés de lunettes noires, portant haut les fanions roses, nos amis de la capitale sont eux aussi venus en nombre. Et Gerland paré d'ovalie est splendide sous le soleil de fin mai.
Autre demi, à Lyon celle entre Perpignan et le Stade Français-Paris.
Une rivière de drapeaux sang et or inonde le stade des olympiens de Lyon. En drapeaux, en vêtements, en maillots l'antre lyonnaise se fait catalane. Bien plus qu'un club, comme le disent les footeux de la catalogne du sud au sujet de leur équipe championne d'europe, l'USAP est le porte-drapeau de la catalinité en France. Terre de tous les ovales puisqu'outre l'USAP les Dragon Catalans du XIII sont le joyeau de l'autre rugby français,elle voue à son club une passion sans faille. C'est plus de 20 000 catalans qui agitent d'immenses drapeaux dans une ambiance de follie. Si ils sont moins nombreux et flamboyants, les parisiens tiennent la route. Invariablement chaussés de lunettes noires, portant haut les fanions roses, nos amis de la capitale sont eux aussi venus en nombre. Et Gerland paré d'ovalie est splendide sous le soleil de fin mai.
La suite? Un match passionnant tout simplement.Si le score fut étriqué 25 à 21 pour les catalans, la victoire de sang et or fit assez peu de doute, les parisiens à l'image de Bastareaud faisant un peu trop de fautes pour reussir et leurs adversaires semblant pleins d'une tranquille assurance... On ressort les images pleins la tête refaire le match dans une ambiance de fou autour du stade. C'est beau la vie en ovalie !
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Oui un superbe match où comme la veille entre Toulouse et Clermont, ce sont ceux qui avaient "le plus faim" qui se sont imposés.
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